CERCLE PHILA DUDELANGE brfm 1032 150

Briefmarkensammlerverein Düdelingen / Association philatélique de Dudelange

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LES CACHETS DES POSTES RURALES

 

1. LES CACHETS DES BOÎTES AUX LETTRES

 

Les cachets des boîtes aux lettres furent introduits en 1836 sous l’administration belge à la suite de l’organisation du service rural, d’après le modèle français de 1830.

 

LEUR EMPLOI

A propos de leur emploi, le Règlement belge pour le service rural du 20 août 1836 est très explicite. Je renvoie aux articles 18, 20, 25, et 27 à 30.
Une instruction luxembourgeoise no71/ 1350 du 4 juin 1877, citée par Poos p. 327, spécifie à ce sujet : « Les articles 23 et 25 de l’Instruction spéciale sur le service des facteurs, approuvée le 23 septembre 1863, exigent que les facteurs ruraux soient toujours munis en service d’un tampon convenablement enduit d’encre à timbrer et que l’empreinte du timbre fixe dont chaque boîte est pourvue, soit apposée correctement, tant sur les parts No8 (Rechnungs- und Bestellzettel) que sur l’angle supérieur à droite des lettres extraites des boîtes. »

 

LEUR FIXATION

Le mode de fixation des cachets dans les boîtes a donné lieu à controverse. André Ungeheuer, dans son étude de 1946, écrit que le cachet « était attaché dans la boîte à l’aide d’une chaînette. » Cependant, des témoins oculaires (Albert Kauthen et Robert Krantz) qui ont fait récupérer par les P&T, après la Deuxième guerre mondiale, des boîtes oubliées dans les murs de bâtiments publics, sont sûrs que ces cachets étaient fixés sur le revers de la porte de la boîte.
Ceci est d’ailleurs confirmé par les cachets conservés au musée postal qui sont fixés sur des plaques portant aux deux extrémités des trous à vis.

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Photos des cachets exposés au musée postal

 

En France, « une lettre-timbre, d’environ 10 mm » était « vissée à l’intérieur de chaque boîte ».

 

LEUR FORME

Les cachets des boîtes aux lettres étaient constitués des majuscules de l’alphabet entourées d’un cercle, d’un ovale (dans un seul cas) ou d’un losange. En Belgique, on les appelle d’ailleurs « littera » (au singulier comme au pluriel), du mot latin signifiant « lettre », et en France, tout simplement « timbres-lettre ».

En France (mais ni en Belgique ni au Luxembourg) il existait des cachets constitués d’une majuscule sous laquelle était inscrit un chiffre (ex. A/2). Ils étaient destinés à des boîtes secondaires établies par les communes à leurs frais en des localités de leur choix.

 

TROIS SÉRIES

Au Luxembourg, il existe trois séries de cachets de boìtes à lettres :

 

Série 1 (dès 1838)
Majuscule unique inscrite dans un cercle mesurant, à quelques exceptions près, 9 ou 10 mm de diamètre.
Série complète, comprenant toutes les lettres de l’alphabet, excepté le J.

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Collection W. Schwickert

 

 
Série 2 (également dès 1838)
Deux majuscules dans un cercle de 13 à 15 mm de diamètre, la première étant toujours la lettre A.
Série incomplète.
AW de Boevange/Clervaux non pas dans un cercle, mais dans un ovale de 17 x 13 mm.

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Collection W. Schwickert

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Collection W. Schwickert

 
Série 3 (tardive: fin des années 70, sauf AR)
Deux majuscules dans un losange de 11 x 11 ou 12 x 9 ou 12 x 10 mm.
Série incomplète
À une exception près (AR de Koerich en usage dès 1846), la première lettre n’est pas A.
 

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Collection W. Schwickert

 

LEUR ATTRIBUTION

L’attribution des cachets à une localité précise est plutôt hasardeuse. S’il est vrai qu’en France (et aussi, mais moins strictement, en Belgique) l’ordre alphabétique correspondait au sens de la tournée du facteur et était même reconstitué en cas d’apparition d’une nouvelle boîte, il n’en est rien chez nous où il semble avoir régné le pur arbitraire.
Aussi notre inventaire des cachets luxembourgeois doit trop souvent se contenter d’indiquer le seul bureau d’origine. La seule source sûre est la liste officielle établie suite à une requête de la Direction des postes en date du 25 octobre 1878, publiée par Poos p. 329 et p. 419. Mais elle est loin d’être complète.
On peut se demander, pourquoi la Direction des postes n’a pas simplement exigé en 1878 que les distributeurs lui renvoient les feuilles de route des facteurs, qui devaient obligatoirement porter l’empreinte des timbres-lettre de chaque tournée. Aurait-on eu des doutes quant à l’application de cette prescription par les facteurs?
En présence de plis munis du cachet de la même boîte et portant le cachet de départ du même bureau, mais issus de localités différentes, on est enclin à’attribuer le cachet de la boîte à la localité prépondérante.
Les recherches sont compliquées par le fait qu’une littera pouvait être, au cours des années, attribuée à diverses boîtes. En effet, quand une localité obtenait son propre bureau de distribution, son cachet de boîte devenait superflu et pouvait trouver une nouvelle application.
Pourquoi trouve-t-on des cachets luxembourgeois sur des lettres provenant de l’autre côté de la frontière ? Le lot no 1238 de la vente Soluphil du 16.6.1989 comprenait deux lettres de Warnach (B) vers Bettborn (L), la première postée en Belgique, la seconde au Luxembourg. Commentaire de R. Goebel : «Épargner 10 cents (différence de port) valait à cette époque une marche de quelques kilomètres.»

 

LEUR RÔLE

La principale fonction des cachets des boîtes était de contrôler les facteurs ruraux en s’assurant qu’ils avaient ouvert, dans l’ordre indiqué par l’administration, toutes les boîtes de leur tournée. A cette fin, ils étaient tenus d’apposer l’empreinte sur leur feuille de route (qui était appelée le part).
Aussi, les cachets des boîtes disparurent peu à peu après la mise en service, en novembre 1883, d’un nouveau type de boîtes avec des plaques interchangeables à chaque tournée et portant, pour les communes rurales, le jour, et pour les villes, l’heure de la prochaine levée. « Les plaques sont déposées au bureau de poste et remises chaque jour aux facteurs, à leur départ, après qu’ils ont rendu celle de la tournée précédente. » (Reis, p. 172)
Les cachets «littera» devaient également être apposés sur le coin supérieur droit de chaque lettre levée dans la boîte, afin d’en attester l’origine.
Exceptionnellement, après l’introduction des timbres-poste, lorsqu’une lettre était redistribuée dans la même tournée et ne passait donc pas par un bureau, le facteur devait annuler le timbre-poste à l’aide du cachet de la boîte. Il est donc faux de désigner ces annulations de timbres-poste comme accidentelles. Si elles sont rares, c’est qu’il n’y avait guère de correspondance postale entre des localités rapprochées. Les villageois s’en chargeaient eux-mêmes.

 

Dates limites d’emploi

Pour la France :

Début d’emploi : 1.4.1830 : empreinte obligatoire sur le part
19.11. 1835 : empreinte également obligatoire sur chaque lettre trouvée dans la boîte
Fin d’emploi : 1er janvier 1912

pour la Belgique :

Début d’emploi : 1.9. 1836 : Brabant
oct. 1836 : provinces Anvers, Hainaut, Flandre
novembre 1836 : les autres provinces (dont le Luxembourg)
Fin d’emploi : 1er janvier 1896

pour le Luxembourg :

Début d’emploi : novembre 1836 (mais les premiers ne datent que de 1838)
Fin d’emploi : novembre 1885 (Mais on en trouve jusqu’en 1905.)

 

2. Autres cachets des postes rurales

Belgique et Luxembourg

(Voir le Règlement belge, Art. 16 et 17)

Stempel sr rota) SR dans un rectangle : Service Rural

Ce cachet indique que le décime rural est dû.

 

Stempel ca rotStempel CA schwarzb) CA dans un rectangle : Correspondance d’Arrondissement

Dispense du paiement du décime rural, la lettre étant redistribuée dans le même arrondissement.



Ces deux cachets ne devraient en principe pas figurer sur une même lettre.
Si on les a apposés quand-même par erreur, il aurait fallu rayer l’un des deux (ce qui n’a pas toujours été fait.)

 

Brief mit CA CR
Lettre de Luxembourg à Berbourg près de Grevenmacher (Collection : Roland Schneider)

 

Au Luxembourg, le décime rural (entretemps transformé en une taxe supplémentaire de 5 cents hollandais) fut aboli par la loi du 25 juin 1845 sur les tarifs. Les cachets SR et CA disparurent par conséquent à partir du 1er janvier 1846.

c) Le petit cachet à date de type belge communément appelé « dé à coudre » est aussi un produit des postes rurales. Il était le premier cachet à date des distributions.

France

stempel 1d rot 2

jef 1d stempel
 
a) ID dans un ovale : 1 Décime (rural). Correspond au SR belge.
En rouge : origine rurale
En noir : destination rurale
 
 
stempel cl rotstempel cl schwarz dunkel
 
b) C L dans un octogone (à partir de 1830): Correspondance Locale. Correspond au CA belge.

 

stempel cd schwarz 5
c) C D dans un losange (à partir de 1832) : Correspondance de Distribution : Même fonction que CL, mais permettant de distinguer les lettres partant d’une distribution de celles issues d’une perception.

Ces trois cachets disparurent le 1er janvier 1847 à la suite de la loi du 3 juillet 1846 portant suppression du décime rural.

 

 

stempel or rotstempel or schwarz 2d) OR dans un cercle : Origine Rurale
Cachet mobile que le facteur porte depuis 1836 dans son portefeuille et qu’il applique sur les plis qui lui sont remis pendant sa tournée en mains propres et ne sortent donc pas d’une boîte.
Depuis 1850, ce cachet a aussi servi à annuler les timbres-poste des envois à redistribuer dans la même tournée.
(D’où probablement la confusion dont il est question plus bas sous 3.)
« A dater du 1erjuin 1859, la taxe de toute lettre non affranchie, née et redistribuable dans la circonscription du bureau de poste sera figurée au moyen d’étiquettes dont le spécimen est ci-joint… » (Avis de la Direction Générale des Postes) Ces vignettes à dix centimes (appelées chiffres-taxe) devaient également être annulées au moyen du cachet OR.

 

L’acte de naissance du petit cachet de type belge dit « dé à coudre »

«L’Administration a fait confectionner pour toutes les Distributions des Timbres d’une moindre dimension que ceux des bureaux de Direction et de Perception, mais indiquant comme ceux-ci le nom du bureau ainsi que la date.
Chaque Timbre sera accompagné de deux séries de caractères dont la 1re indique le jour, et la 2e composée de 12 chiffres romains désignera le mois. Ces derniers chiffres seront toujours placés en-dessous des premiers.

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Lettre de Wiltz à Winseler du 28 décembre 1836 (Collection: F.R.)

 

Ce Timbre sera appliqué sur l’adresse de toutes les lettres originaires des bureaux de Distribution. Il sera également apposé au dos de toutes celles qui leur seront transmises par les bureaux avec lesquels chaque Distribution est en relation. La date de ce Timbre sera changée tous les jours avant de s’en servir […]
Les Timbres des Distributions seront appliqués en noir, et à l’exception du bureau de la Capitale, qui timbrera en bleu, les autres bureaux de Direction et de Perception continueront à employer la couleur rouge pour l’apposition des Timbres.»
Circulaire belge du 3 octobre 1836, no 108
Source A. Hochsteyn: Dictionnaire postal de la Belgique (Bruxelles 1847), tome II, p. 416 s.

 

Perceptions existant en 1836
(avaient un cachet à date plus grand)

Diekirch (depuis le 20 août 1836)

Eich (fin 1830 à juin 1839)

Luxembourg (depuis 1815)

Nouvelles perceptions à partir du 20 août 1842
(avec nouveau cachet à date plus grand)

Grevenmacher

Wiltz

Distributions
(ayant donc droit à un cachet « dé à coudre »)

Bettembourg (jusqu‘au 20.8.1842)

Clervaux (depuis le 12 janvier 1837)

Echternach (depuis 1814)

Esch-sur-Alzette (à partir du 20.8.1842)

Ettelbrück (23.6.1828 – 15.12.1836)*

Frisange (remplaça Bettembourg le 20.8.42)

Grevenmacher (promu perception en 1842)

Mersch (à partir du 1er juillet 1828)

Remich (à partir du 1er juillet 1827)

Redange (à partir du 20 août 1842)

Steinfort (à partir du 23 juillet 1839)*

Wiltz (1.7.1827 – 20.8.1842)

* Pas de cachet « dé à coudre » connu.

Grosbous, bien que n'étant pas distribution, disposait cependant d'un cachet "dé à coudre". C'était la résidence d'un facteur de relais (Philippe Neuens au 1.1.1843, d'après Reis p. 81) et en plus un lieu d'échange des correspondances entre les distributions de Redange et d'Ettelbrück, cité par Reis p. 82 pour l'année 1848. Les lettres suivantes démontrent que cet échange existait déja plus tôt, à une époque où Ettelbrück ne disposait pas d'un bureau de distribution, entre la perception de Diekirch et la distribution de Redange.

 

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Lettre avec "dé à coudre" de Grosbous en tant que marque de passage (Collection: Ulli D.)

 

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Lettre avec "dé à coudre" de Grosbous. Écrite le 30 août 1841 à Obermertzig.
N'a pas fait le détour par la distribution de Redange, mais a été timbrée à Grosbous
par les cachets "dé à coudre" et CA.
Au verso, cachet d'arrivée de Diekirch. (Collection: Roland Schneider)

 

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Extrait de la lettre

 

3. UN CACHET APPELÉ À TORT « RURAL »

(Le cachet muet rectangulaire à barres)

DOCUMENT

Art. 17 du Règlement du 28 août 1852 sur les timbres-poste, cité par Poos p. 418
Les facteurs devront également annuler à la réception les timbres-poste des lettres recueillies par eux et distribuables dans la même tournée. Ils seront pourvus à cet effet de timbres particuliers.

TEXTE A

Jos Schock, Notice sur les oblitérations à trouver sur les timbres-poste luxembourgeois. Moniteur du collectionneur 1908, p. 111 s.

Il importe cependant de faire remarquer que ce cachet-oblitérateur n’a pas été exclusivement employé aux bureaux de poste prédésignés. – Suivant les renseignements que nous avons pu nous procurer à ce sujet, chaque facteur chargé d’une tournée rurale possédait un cachet de ce type. Il devait en annuler les timbres-poste se trouvant sur les envois postaux qu’il recueillait dans les boîtes aux lettres placées dans les localités qu’il desservait et dont il pouvait encore soigner la remise à leur destinataire, le même jour.

TEXTE B

[Alphonse Schon], Ier Annuaire F.S.P.L., Exposition Dudelange 1937, p. 71

Le facteur rural ou messager-piéton en tournée avait pour mission d’annuler immédiatement les effets affranchis, recueillis dans les boîtes placées dans les petites localités de campagne.
Dans chaque boîte se trouvaient deux espèces de sceaux, rivés ordinairement à une chaînette :
Le premier était le cachet d’annulation prévu pour le service des facteurs en tournée. Il est à neuf barres normales, et on en connaît plusieurs variétés de dimension, mais ils sont toujours de forme strictement rectangulaire.
Le deuxième est un sceau de contrôle, consistant, comme nous l’avons déjà indiqué, en une ou deux lettres de l’alphabet et toujours entourés d’un cercle. Ce cachet devait être appliqué sur la feuille de route du facteur, mais non pas sur le timbre.
Contrairement aux instructions, il arrivait qu’il était employé comme cachet annulateur, et assez souvent il était apposé sur la lettre.

TEXTE C

(Poos p. 417 s.)

Le timbre spécial des facteurs ruraux

Ce cachet avait été fourni aux facteurs ruraux en 1852, lors de l’introduction des timbres-poste, en conformité de la prescription suivante de l’art. 17 du Règlement du 28 août 1852 sur les timbres-poste : … [voir document ci-dessus]

Le dit timbre, qui pouvait être fixé par une chaînette à l’intérieur de la boîte, était de forme rectangulaire et avait neuf à dix barres normales.

Commentaire F.R.

Presque tout est faux dans les assertions des auteurs des textes A, B et C.
Ils se sont manifestement laissé induire en erreur par le document officiel de 1852 cité en tête de ce chapitre, qui parle de cachets à remettre aux facteurs. Or, à la Direction des Postes on a dû rapidement se rendre compte que cela était superflu, vu que les facteurs pouvaient utiliser les cachets à majuscules qui étaient déjà fixés dans les boîtes depuis l’époque belge et qui n’étaient d’ailleurs pas seulement destinés à estampiller la feuille de route, mais aussi les lettres trouvées dans la boîte et même les timbres-poste, si la lettre était redistribuée dans la même tournée.
En tout cas, les cachets rectangulaires n’ont jamais été remis aux facteurs ruraux et n’ont jamais été fixés dans les boîtes. Ils fonctionnaient uniquement dans certains bureaux de distribution. Il est donc faux de les appeler « cachets ruraux », comme le font certains auteurs (p. ex. Jos Koetz dans « Les cachets sur timbres luxembourgeois 1852-1945 », Luxembourg, FSPL, 1966).
En outre, ces cachets n’ont pas été fournis déjà en 1852, mais ne sont apparus qu’en 1855.
Enfin, il n’y avait pas de cachets fixés dans les boîtes à l’aide d’une chaînette. Les cachets muets rectangulaires de toute façon n’y ont jamais été installés et les cachets à majuscules étaient rivés sur le revers intérieur de la porte de la boîte à l’aide de vis.

TEXTE D

Ungeheuer, Étude sur la 1re émission, 1946

Un règlement daté du 23.2.87 décida la mise hors service des rectangulaires à barres.

 

4. Littérature

 

Belgique

Hochsteyn, A. : Dictionnaire postal de la Belgique, tome II. Bruxelles, 1846.
Porignon, J.C. : La Poste Rurale au XIXe siècle en Belgique. Liège-Bressoux, 1993.

 

France

Estel, jef : Le dur labeur du facteur rural. (http://jef.estel.pagesperso-orange.fr/rurale.html)
[Fameuse collection "Le dur labeur du facteur rural")

Luxembourg

Poos, N. : Die Post des Großherzogtums Luxemburgs. Luxembourg, 1951.
Reis, J.P. : Histoire des postes, des télégraphes des téléphones. Luxembourg, 1897.
Kauthen, Albert : Cachets de boîtes aux lettres. In : Le moniteur du collectionneur 7/1965.
Rasquin, Fernand : Les cachets des boîtes aux lettres. In : 70e anniversaire du Cercle Phila. Luxembourg, 1991.
[Contient une liste des cachets des boîtes aux lettres que la Commission pour la philatélie traditionnelle de la FSPL est en train d’actualiser.]
Rasquin, Fernand : Les boîtes aux lettres et leurs cachets. In : Cercle Philatélique Echternach, Saint Willibrord 658 – 2008. Luxembourg, 2008.
 

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